LIVRE DE SOPHIE BENARROSH: " MALADIE DE LYME, EMPOISONNEMENT AUX METAUX LOURDS, NON CE N'EST PAS DANS MA TETE NI LA VÔTRE!
“Suite à un changement d’éditeur, le livre “Maladie de Lyme, empoisonnement aux métaux, NON ce n’est pas dans ma tête... ni dans la vôtre !”
est une édition révisée et augmentée d’”A la recherche de ma santé perdue” paru en 2015 aux Editions du Moment.”
PRESENTATION DU LIVRE:
Armée d'une volonté de fer, elle entreprend ses propres recherches sur le mal qui la ronge. Recoupant de multiples travaux internationaux, elle découvre un lien entre la maladie de Lyme et les ravages des métaux lourds sur l'organisme.
Sophie Benarrosh a choisi de témoigner et de livrer avec précision les conclusions de son enquête, dévoilant les solutions et les conseils pratiques grâce auxquels elle commence à cheminer vers la guérison.
Un récit qui nous concerne tous, vivant, souvent grave, mais d'un optimisme contagieux.
Dr Richard I. Horowitz (États-Unis), auteur de Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées
Valérie Colom Bisbal, administratrice du Groupe Lyme Team
- Broché: 256 pages
- Editeur : LEDUC.S (9 mai 2017)
- Collection : SANTE/FORME
- Langue : Français
- ISBN-13: 979-1028503796
- ASIN: B06VSGXPTD
PRESENTATION DE L'AUTEUR:
" Diplômée de commerce international, Sophie Benarrosh est mère d'un adolescent. Depuis que sa carrière a été brisée par la maladie, elle consacre le temps qu'elle peut à des activités artistiques (création de bijoux, peinture).
*Sophie Benarrosh répond directement aux lecteurs de son livre via son site: http://sophie-benarrosh.com/#contactpage
LA PRESSE EN PARLE! :
Le Huffington Post:
"Une des causes de mon état: la maladie de Lyme, une maladie infectieuse sous estimée"
En plus des premiers symptômes précédemment cités, je dois subir l'impression d'une grippe permanente. Plus de quatre ans après la déclaration de mon avalanche de symptômes que la Faculté de médecine tenait pour inexplicables, j'apprends que je suis atteinte également de la maladie de Lyme.
Ce livre, préfacé par le Professeur Christian Perronne [7], de renommée internationale et spécialiste, entre autres, de cette maladie, je détaille les coulisses de cette maladie infectieuse causée par la bactérie borrelia ─ notamment transmise à l'homme par la morsure d'une tique. J'aborde aussi les différents obstacles pour obtenir un diagnostic. En effet, un médecin français a tous les risques de passer à côté du dépistage faute d'examen biologique fiable, faute de prise en compte des symptômes cliniques et aussi par manque d'une formation approfondie de cette pathologie qui n'est pourtant pas rare, hélas ! Je constate aussi le manque de reconnaissance du stade chronique de la maladie. Quant à l'information de la population, elle ne peut qu'être améliorée et elle doit l'être d'urgence.
Une autre cause à mon état: les ravages des métaux
Après avoir essayé de comprendre ces deux pathologies, j'ai cherché pourquoi la maladie de Lyme, dans sa version chronique, résiste à toutes mes nombreuses tentatives de traitements allopathiques.
Comment accepter leur caractère aujourd'hui incurable me concernant? Je m'y refuse, persuadée qu'il existe des pistes, des solutions pour m'en sortir!
Grâce à toute l'énergie que je me suis obstinée à y consacrer, mes investigations m'ont amenée à faire d'autres découvertes. Dramatiques. Celles causées sur notre organisme par les ravages des métaux ─constamment présents dans notre quotidien même là où on ne saurait les soupçonner.
Deux véritables menaces pour la santé publique
Au-delà du lien qu'ils peuvent avoir avec le handicap dont je souffre, les métaux et la maladie de Lyme constituent deux véritables menaces pour la santé publique. Or en France, force est de constater que nombre d'informations sont tues à leur sujet. Pendant mon errance médicale de quatre ans, parmi les médecins que j'ai consultés, aussi nombreux que brillants, aucun n'a envisagé un instant que je pouvais être atteinte de la maladie de Lyme. Et durant quinze ans, aucun n'a pensé à pratiquer le test adéquat pour identifier mon empoisonnement aux métaux.
Convaincue que toutes les pistes que j'ai abordées pourront bénéficier à d'autres tout de suite, j'ai cru utile de partager mon expérience. J'étaie mon récit en me référant aux travaux et conclusions de plusieurs médecins étrangers, les rares à publier leurs travaux.
Modestement, je voudrais que mon expérience puisse contribuer à faire bouger certaines lignes si rigides de notre système de santé. Que la maladie qui m'enferme depuis des années serve au moins à cela!"
[7] Professeur Christian Perronne, Professeur de Maladies infectieuses et tropicales et Chef de Département à l'Hôpital Universitaire Raymond Poincaré de Garches
(Sources article: http://www.huffingtonpost.fr/sophie-benarrosh/temoignage-syndrome-fatigue-chronique_b_7265736.html )
« Cela fait seize ans que je suis malade. Tout a commencé quand je suis tombée enceinte, par une banale sinusite, suivie d’une explosion de symptômes. Je me sens alors extrêmement fatiguée, complètement K-O, mise au tapis. J’ai des douleurs articulaires et musculaires, de la fièvre, des vertiges, des nausées, un sommeil non réparateur…
On m’hospitalise. Les médecins pensent que mon état est provoqué par ma grossesse. Il me semble alors évident qu’après la naissance, tout rentrera dans l’ordre : je retrouverai cette énergie et cet enthousiasme qui me caractérisaient jusque-là.
Mais plusieurs semaines après l’accouchement, je n’ai toujours pas récupéré. Mes symptômes sont toujours là et personne ne peut m’aider. Je me sens très faible et pourtant, les résultats de mes examens ne révèlent rien de significatif. On me fait comprendre que je suis une malade imaginaire et on me colle des antidépresseurs. La belle affaire !
Heureusement que j’ai toute ma tête. Je sais que je n’invente pas ces malaises de plus en plus difficiles à supporter. Même plus en état de travailler, je suis comme une loque sur mon lit. J’ai juste assez de force pour m’occuper de mon petit garçon. Pendant quatre ans, je vais consulter nombre de spécialistes, subir quantité d’examens. Je passe ma vie à attendre : ici un résultat sanguin, là un rendez-vous avec le praticien qui pourrait mettre un nom sur ma souffrance invalidante.
Un diagnostic tombe enfin : je souffre du syndrome de fatigue chronique, une affection neurologique grave. Quelques mois plus tard, on me dit que je suis atteinte de la maladie de Lyme, infection le plus souvent transmise par les tiques. Pendant sept ans, je prends des antibiotiques et des antiparasitaires. J’observe parfois de petites améliorations ponctuelles. Mais au quotidien, je survis, allongée, incapable de sortir, même pour faire mes courses.
» Comme les médecins me répètent que je suis le cas le plus compliqué qu’ils connaissent, je me dis que c’est à moi de trouver la solution. «
Un matin, je décide de tout arrêter et je place tous mes espoirs dans la phytothérapie. Se soigner par les plantes semble une planche de salut après avoir ingurgité tant de produits chimiques. Et en 2013, du fond de mon lit et grâce à Internet, je commence à enquêter pour tenter de comprendre pourquoi je n’arrive pas à guérir de la maladie de Lyme.
Comme les médecins me répètent que je suis le cas le plus compliqué qu’ils connaissent, je me dis que c’est à moi de trouver la solution. En lisant les études et conclusions de nombreux praticiens, principalement étrangers, je comprends mieux les difficultés que les médecins ont à établir un diagnostic de la maladie de Lyme, surtout en l’absence de plaque rouge visible sur le corps et de test fiable…
» Un diagnostic à l’étranger confirme mon empoisonnement aux métaux alors qu’en France le test disponible s’avérait négatif. «
Je découvre alors que ce mal, souvent chronique, est beaucoup plus répandu qu’on ne le pense. En parallèle, j’explore la piste des métaux lourds qui pourraient être un frein à ma guérison et je découvre qu’ils ont parfois des conséquences dramatiques sur le corps humain. Mais comment aurais-je donc été en contact avec, par exemple, du mercure ?
Je fouille mon passé et je m’aperçois que pour mes multiples déplacements professionnels, j’ai dû faire de nombreux vaccins, comme celui contre l’hépatite B. Or, jusque dans les années 2000, plusieurs de ces produits contenaient du mercure.
Autre source de ce métal dans mon organisme : les amalgames dentaires.
Un diagnostic à l’étranger confirme mon empoisonnement aux métaux alors qu’en France le test disponible s’avérait négatif. Puis, je réalise que les métaux et la maladie de Lyme peuvent être également facteurs de certaines affections chroniques. Et ça, on ne le sait pas.
Aujourd’hui, j’ai toujours la volonté de guérir. Au moins d’aller mieux. J’ai commencé ma désintoxication aux métaux lourds… »
(Sources article: http://www.francedimanche.fr/coup-de-gueule/jai-ete-empoisonnee-aux-metaux-lourds%E2%80%89/ )
EMISSION "Télématin " du 02 Septembre 2016
La maladie de Lyme, une maladie encore méconnue
LIENS:
- Dans la mesure du possible, Sophie Benarrosh répond aux lecteurs de son livre : www.sophiebenarrosh.com
- Pour avoir les coordonnées de médecins toxicologues formés à la désintoxication des métaux lourds ou de dentistes formés à la dépose sécuritaire des amalgames dentaires ou demandes de toutes informations relatives à l'intoxication aux métaux lourds:
- Groupe facebook d'information et d'aide aux malades intoxiqués:
"Maladies Emergentes et Métaux Lourds": https://www.facebook.com/groups/fibromyalgieetmercuredentaire/?ref=group_cover
- Pour avoir des informations sur la maladie de Lyme:
** Associations de malades qui appartiennent à la FFMVT ( Fédération Française contre les Maladies Vectorielles à Tiques ):
** France Lyme : http://francelyme.fr/
** Lym’P.A.C.T. : http://www.lympact.fr/
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Votre blog: "MALADIES EMERGENTES ET METAUX LOURDS": http://fibroetmetaux.canalblog.com/
Audrey.B