DANGERS VACCIN HEPATITE B, PLUS DE 20 ANS APRES LA PREMIERE CAMPAGNE DE VACCINATION...
PLUS DE 20 ANS APRES LA CAMPAGNE MASSIVE DE VACCINATION DE L'HEPATITE B....
Il y a 20 ans dÉjà, la campagne de vaccination contre l’hÉpatite B…
Début des années 1980, les premiers vaccins plasmatiques apparaissent. Début 1988, le vaccin contre l’hépatite B, premier du genre sort en France. A l’époque dans les écoles d’infirmières des directeurs intiment l’ordre aux étudiants de se faire vacciner, sans cela, ils ne pourront pas prétendre pouvoir se présenter dans certains stages.
En 1991, la vaccination devient obligatoire pour tous les personnels de santé.
En 1994, le 21 avril, le Dr. Philippe Douste-Blazy, alors secrétaire d’Etat à la santé, révèle qu’un grave danger menacerait la santé de la population française : l’hépatite B. « Ce virus provoque des cirrhoses et des cancers du foie et des hépatites fulminantes » indique-t-il à la population française mais heureusement un vaccin existe, sûr et efficace ! »
Dès le mois de septembre, il fait livrer les doses de vaccin dans les collèges en demandant au personnel médical et paramédical de vacciner les élèves de sixième. Il lance également une campagne de vaccination intensive, première du genre auprès de la population infantile française. Cette campagne de vaccination massive s’accompagne d’une publicité mensongère et agressive basée sur la peur : « l’hépatite B tue en un jour plus que le SIDA en un an », « elle se transmet par la salive »...
A l’époque où le SIDA fait des ravages, l’hépatite B étant également une maladie sexuellement transmissible, cette campagne publicitaire fait écho à cette peur et dépassera largement ses objectifs, aboutissant à faire vacciner beaucoup plus d’adultes que de nourrissons.
Selon le journaliste Éric Giacometti, («La santé publique en otage, scandale de la vaccination hépatite B »), le Dr. Philippe Douste-Blazy aurait entre autres agi ainsi afin de remercier indirectement le laboratoire SKB. Le directeur de SKB, Bernard Mezuré, était en effet aussi le Président du SNIP qui avait financé légalement sa campagne électorale lors des dernières élections législative. « Il est de notre devoir d’aider les professionnels de santé à devenir nos représentants à l’assemblée » argumentait-il.
Les médecins généralistes vaccinent donc à tour de bras, peu importe l’âge, la situation, les risques réels rencontrés. Ils vaccinent. C’est ainsi qu’apparaissent très rapidement les premières alertes, provenant des services de neurologie : le nombre de sclérose en plaques (SEP) se multiplie. On voit apparaitre des cas de sclérose latérale amyotrophique (SLA) et de maladies auto-immunes en nombre beaucoup trop important par rapport au recrutement habituel. Le pic de nouvelles SEP déclarées à la pharmacovigilance l’illustre bien:
En bleu le nombre de vaccins contre l’hépatite B vendus en France et en orange le nombre de nouvelles scléroses en plaques déclarées à la pharmacovigilance chaque année
En 1997, l’association des victimes de la vaccination hépatite B, le REVAHB, est créé sous la houlette du Dr Philippe Jakubowicz, à la suite de multiples témoignages reçus par le journal « L’impatient », dirigé par Pierre Dhombre. C’est une première, que des victimes osent montrer du doigt ainsi un vaccin. C’est une secte, disent certains médecins et quelques politiques dont le nouveau Ministre de la Santé, le Dr Bernard Kouchner. Certaines victimes reçoivent avec surprise la visite des Renseignements Généraux.
En 1998, le REVAHB qui accumule les témoignages alerte l’AFSAPPS afin de transmettre et faire prendre en compte ces effets indésirables post-vaccinaux. Ce seront plus de 3500 dossiers qui sont ainsi notifiés les premières années. Devant cette alerte signalée par la Pharmacovigilance nationale, le nouveau secrétaire d’Etat à la santé fait arrêter la vaccination dans les collèges sous le prétexte de mieux pouvoir se renseigner sur les antécédents familiaux. Il fait parallèlement diligenter des études épidémiologiques.
En 2000, le Dr. Dominique Costagliola estime que la sous-notification des SEP déclarées à l’AFSSAPS est patente, comprise entre un facteur 2 et 2,5.[1]
En février 2002, un collège de dix experts dont le Pr Bégaud, vice-président de la Commission nationale de pharmacovigilance, affirme qu’ "Il s'agit de l'une des plus grandes séries d'effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis 1974".[2]
Une dizaine d’études internationales seront mises en place afin de déterminer les liens de causalité éventuels entre la vaccination anti-hépatite B et l’apparition d’une SEP. Certaines études, en grande partie sponsorisées par des laboratoires producteurs des vaccins, ne montrent pas de lien ou un risque légèrement augmenté mais non significatif sur le plan statistique.
Trois études épidémiologiques[3], indépendantes de tout financement, objectiveront un lien significatif entre la pratique du vaccin et l’apparition secondaire d’une atteinte neurologique de la myéline sous forme d’une SEP le plus souvent. La plus significative est celle du Dr. Miguel Hernan qui relève, dans une population Britannique, un risque multiplié par 3,1 de voir survenir une SEP dans les trois années qui suivent un vaccin anti-hépatite B.
Septembre 2013: dans le « Rapport sur la surveillance et la promotion du bon usage du médicament en France »[4], élaboré à la demande de la Ministre de la Santé, Marisol Touraine, les Drs. Dominique Costagliola, épidémiologiste, et Bernard Bégaud, pharmacologue, reconnaissent officiellement la notification de plus d'un millier de cas de SEP développées après vaccination contre l’hépatite B.
Aujourd’hui encore, le REVAHB, dans son rôle de recueil des données de pharmacovigilance, continue de recevoir des témoignages de personnes ayant développé des effets indésirables post-vaccinaux.
Le REVAHB déplore que les vaccins que reçoivent actuellement les nourrissons (Infanrix-Hexa ou Hexyon, contenant 6 valences vaccinales: diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite, Haemophilus b et hépatite B) dans le cadre du calendrier officiel soient injectés aux jeunes enfants sans que les parents soient la plupart du temps informés de leur contenu et des risques encourus. Cette vaccination d’une population captive est d’autant plus incompréhensible qu’elle vise à soi-disant protéger un enfant contre une infection que, dans un pays comme la France, il ne peut pas contracter (sauf le cas assez rare d’une mère porteuse du virus durant sa grossesse). Cet illogisme est d’autant plus flagrant que la durée de l’immunité conférée par une vaccination réalisée dans le jeûne âge est tout à fait incertaine quelques 20 à 30 ans plus tard, à un moment où justement cette protection pourrait parfois être indiquée.[5]
LIVRES, FILMS, REPORTAGES :
Éric Giacometti : La santé publique en otage : les scandales de la vaccination hépatite B.
Lucienne Foucras : Le nouveau dossier noir de la vaccination hépatite B et Hippocrate si tu savais.
Présentation du livre: La vaccination contre l'hépatite B, telle qu'elle a été pratiquée dans les années 1990, est emblématique d'un système qui fait commerce de nos santés. Vacciné sans raison sérieuse en 1996 à la suite du matraquage publicitaire des firmes pharmaceutiques encouragées alors par Philippe Douste-Blazy, le mari de Lucienne Foucras est mort en 1999 entièrement paralysé. Il n'a pas été le seul. Quatre ans plus tard, en 2004, les éditions du Rocher ont publié le témoignage de Lucienne Foucras. Ce livre n'étant plus dans leur catalogue depuis 2007, mais recherché cependant encore par de nombreux lecteurs, une réédition s'est imposée. L'auteur a largement enrichi et actualisé son texte de toute la somme des informations nouvelles qui lui sont parvenues depuis 2004. Ce livre, né d'une expérience personnelle particulièrement éprouvante, a pour objet de lutter contre la désinformation et l'omerta qui cherchent à faire oublier que cette vaccination massive a été l'un des plus grands scandales de santé publique du vingtième siècle. Si aujourd'hui on a renoncé à promouvoir celle des adultes suite aux nombreux accidents dont elle serait la cause, on continue néanmoins au mépris du principe de précaution, à la recommander pour les enfants. La question reste donc à l'ordre du jour : peut-on à long ou à court terme faire confiance à cette vaccination ? Est-il exact qu'elle n'est pas dangereuse pour les nourrissons ? Que faut-il penser des vaccinations de masse ? De qui attendre du secours quand l'accident se produit ? Pour être en mesure de bien choisir, il faut être informé de façon plurielle et pouvoir mesurer le rapport bénéfice / risque. Lucienne Foucras a écrit ce livre dans cette unique intention, afin d'éviter aux autres ce qu'elle a vécu dans sa chair, la mort d'un être aimé.
Présentation du livre: La France a-t-elle toujours « la meilleure médecine du monde » ? Les 140 000 hospitalisations annuelles pour cause iatrogène, les 13000 décès avérés, voire les 32000 suspectés, les nombreux scandales de santé publique le démentent. Notre pays qui consomme le plus de médicaments en Europe serait-il devenu la proie d’une industrie pharmaceutique envahissante ?
Virginie Belle : Quand l’aluminium nous empoisonne et Faut-il faire vacciner son enfant ?
Quel est le point commun entre l'eau du robinet, le fromage, les biscuits, les crèmes nourrissantes, le fond de teint, le rouge à lèvres, les déodorants, le lait en poudre, les vaccins, les oeufs ? Tous ces produits contiennent de l aluminium. Une substance nocive, révèle cette enquête exclusive et exhaustive. Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l'épilepsie, l'anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l'asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d'aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.
Que dire des vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux enfants dont la totalité concentre jusqu'à 8 mg d'aluminium alors que le seuil critique s'établit à 1,5 mg par dose ? Que penser du « syndrome de la guerre du Golfe », dont souffrent plus de 175 000 soldats, qui ne serait pas dû aux gaz eux-mêmes, mais aux batteries de vaccins préventifs que ces hommes ont subis ?
L'auteur a rencontré des témoins qui pour la première fois brisent la loi du silence. Cette enquête s'appuie aussi sur les conclusions récentes des plus grands spécialistes de la santé : le Comité consultatif mondial de l'OMS, les recherches de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, du Comité supérieur d'hygiène publique de France, de la Direction générale de la santé, et de nombreuses études scientifiques internationales.
¨Présentation du livre: Faut-il faire vacciner son enfant ? Une question que certains ne se posent plus, tant la pratique est entrée dans les moeurs ; jusqu'aux pédiatres qui ne prennent parfois pas la peine de nous informer sur les risques, pourtant bien présents.
Pourquoi certaines injections obligatoires sont-elles systématiquement combinées avec des vaccins facultatifs ? Ces produits sont-ils sûrs ? Comment et pourquoi les autorités compétentes minimisent, voire ne reconnaissent pas les effets indésirables graves des vaccins ? Quels mécanismes derrière le dogme vaccinal ? Au travers des témoignages recueillis et de l'avis de professionnels de la santé, Virginie Belle lève le voile sur le système et passe au crible les essais cliniques, les composants et le fonctionnement de nos instances. Il ne s agit pas ici d être pour ou contre les vaccins mais d aborder les différentes problématiques d un acte médical devenu banal. Une enquête exclusive qui remet la vaccination à sa juste place.
Un guide des vaccins recommandés aidera également les parents à faire un choix personnel et « éclairé ».
Michel Georget : Vaccinations, les vérités indésirables et L’apport des vaccinations à la Santé publique.
Présentation du livre: Après avoir travaillé dans l'enseignement (physiologie, biologie), Michel Georget profite de sa retraite pour concrétiser le projet qui lui tenait le plus à cœur : écrire un livre aussi exhaustif et objectif que possible sur un sujet très sensible qu'il maîtrise parfaitement : les vaccinations ; livre qu'il dédie au médecin de famille qui, il y a plus de 30 ans, l'avait amené à réfléchir aux problèmes qu'elles posent.
La qualité première de ce livre est de nous rendre lucides. L'auteur éclaire de façon incontestable certaines zones obscures de ce qui touche, en nous, l'essentiel : notre santé. Nous devrions tous lire cet ouvrage. A plus forte raison si nous avons des enfants. Mais aussi pour nous-mêmes, afin de pouvoir juger de l'opportunité de les accepter ou de les refuser et, pour les vaccinations obligatoires, obtenir la liberté totale de choix comme c'est le cas dans la plupart des pays européens.
Lina Moreco : réalisatrice du film : Silence on vaccine.
LLP - Silence on Vaccine - URGENT
"Silence on vaccine"
Inès Léraud : journaliste sur France Culture : L'histoire du premier vaccin fabriqué par génie génétique : le vaccin contre l'hépatite B.
BIBLIOGRAPHIE :
[1] « Vaccination anti-Hépatite B, mise à jour des données et des études de pharmacovigilance» AFSSAPS, février2000
[3] TOUZE E. et coll. Hepatitis B vaccination and first central nervous system demyelinating event: a case-control study. Neuroepidemiology 2002 ; 21: 180-6
GEIER D.A.et coll. A case-control study of serious autoimmune adverse events following hepatitis B immunization. Autoimmunity. 2005, 38(4): 295-301
HERNAN M.A. et coll. Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. Neurology 2004 ; 63: 638-42..
[4] BÉGAUD B. COSTAGLIOLA D. « Rapport sur la surveillance et la promotion du bon usage du médicament en France »
[5] LE HOUÉZEC D. « Infanrix-Hexa, alertez les bébés »
_____________________________________________________________________________
Association REVAHB - 6 rue du Général de Gaulle - 93360 Neuilly-Plaisance
Tél : 01.43.08.86.40 - E-mail : asso.revahb@orange.fr
Site Internet : http://www.revahb.fr Page Facebook : au nom de REVAHB
(Sources: moratoire sur le gardasil)
**********************************************************************************************************************************************
2 EME PARTIE:
VACCIN HEPATITE B: TOXICITE DEMONTREE CHEZ LES ENFANTS ET LES ADULTES
Le vaccin hépatite B a fait couler beaucoup d'encre. En matière de vaccins, c'est en général celui qui génère le plus de méfiance. Même si TOUS les vaccins sont éminemment nocifs, il est exact que certains peuvent l'être plus que d'autres. Le vaccin hépatite B fait partie de ceux-là. Rappelons tout d'abord que la version actuellement sur le marché de ce vaccin est une version transgénique ce qui signifie obtenue par la technologie OGM, aussi appelée "technologie de l'ADN recombinant". Tous ceux qui refusent les OGM dans leurs assiettes puis tendent allègrement le bras avant tel ou tel voyage pour recevoir la dite vaccination sont donc, qu'ils en aient conscience ou non, incohérents.
Mais tous ne tendent pas allègrement le bras: certains n'ont même pas le choix et, s'ils refusent, on les menace de licenciement ou de reclassement. En France, cette vaccination a été rendue obligatoire en 1991 pour le personnel médical et paramédical et, chose intéressante, cette obligation est passée en recourant à l'article 49-3 de la Constitution, ce qui permet tous les coups de force du gouvernement sans discussion parlementaire sur le texte lui-même. Pourquoi donc a-t-on voulu courcircuiter ce type de discussion sur ce vaccin? Plus que probablement car, déjà à l'époque, des scientifiques avaient averti des dangers de démyélinisation liés à ce vaccin et que cela aurait gêné l'adoption d'une telle vaccination...En Belgique c'est en 1999 que cette même vaccination a été rendue obligatoire pour les personnels médicaux et paramédicaux.
Ce type d'obligation, outre qu'elle est illégitime est également illégale car elle est en contradiction avec les libertés et droits des individus (liberté, intégrité physique, liberté d'information, consentement éclairé & droits des patients, etc) consacrés dans différents textes juridiques dont certains sont supérieurs dans la hiérarchie des normes comme c'est le cas pour les libertés constitutionnelles et la charte européenne des droits de l'homme par exemple. Ces lois sont donc inconstitutionnelles et ne doivent donc pas être considérées comme un mur infranchissable appelant la résignation! N'hésitez donc pas à signer la pétition sur le site d'Alis et à la faire circuler!
Chez l'enfant comme chez l'adulte, tant l'inefficacité que la toxicité ont été prouvées. Les officiels se perdent en incohérences et autres contradictions: alors qu'ils déclarent que ce n'est pas si grave que les adolescents n'aient plus d'anticorps "protecteurs" arrivés à l'âge des premières relations sexuelles, ils disent que passé l'âge de 25 ans, l'absence d'anticorps justifie une revaccination! Dans la même veine, ils osent sans rire nous affirmer que la vaccination anti-HB est sans lien avec la sclérose en plaques en général mais que, chez les enfants, là il n'y aurait sûrement aucun danger de démyélinisation alors que chez ces derniers précisément, la vaccination peut agir comme une bombe à retardement!
En matière de toxicité, il importe de savoir que le vaccin hépatite B est LE produit ayant engendré le plus grand nombre d'effets secondaires de TOUTE l'histoire de la pharmacovigilance française (laquelle remonte à 1974)....
Triste record pour un produit censé protéger les individus sains!
Même si la presse a surtout focalisé sur le lien entre sclérose en plaques (SEP) et vaccin, il est très important de bien comprendre que d'autres vaccins peuvent aussi engendrer la sclérose en plaques et également que le vaccin hépatite B peut causer bien d'autres maladies.
D'après les données du Revahb, cette vaccination pourrait engendrer plus de 70 affections chroniques, incurables et extrêmement invalidantes (là où l'hépatite B, elle est bénigne dans plus de 9 cas sur 10!) parmi lesquelles l'effroyable sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot, une maladie mortelle qui s'accompagne d'une paralysie progressive de tous les muscles du corps dans d'atroces souffrances jusqu'au décès, inéluctable. Pour ceux qui ignorent tout de cette maladie, nous leur conseillons sans réserve de lire "Le dossier noir du vaccin contre l'hépatite B" et sa version actualisée "Le nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B" dans lequel Lucienne Foucras raconte le véritable calvaire de son mari décédé de SLA suite au vaccin hépatite B et son combat pour faire éclater la vérité.
En ce qui concerne le lien avec la sclérose en plaques, même si les autorités le nient, il existe bel et bien: les études d'Hernan, de Fourrier-Costagliola ainsi que celle de Tardieu chez les enfants le prouvent. De même que l'étude cas-témoin de Lucien Abenhaïm, ancien directeur de la Santé en France (jusque 2003) qui de "significative" a été remaniée pour la rendre "non significative" (étrange!) Bien entendu les autorités qui sont mouillées jusqu'au cou trouveront toujours à dire que "le lien n'est pas établi", que "les études n'ont pas été concluantes" ou que "d'autres études sont à faire" etc...
Comme l'a dit Ghislaine Lanctôt, le gouvernement a 2 rôles: gouverner ET mentir.
Vous en voulez la preuve par A+B? Très simple, la voici:
Il y a quelques mois à peine, les déclarations de l'actuelle ministre française de la santé, Roselyne Bachelot, étaient retransmises sur France 5 dans Le Journal de la Santé. Celle-ci disait ceci concernant le vaccin anti hépatite B:
"Le vaccin contre l'hépatite B n'est responsable d'aucune maladie en France. C'est une polémique."
Comment dès lors expliquer que l'état français ait déjà indemnisé plus d'une centaine de victimes en reconnaissant le lien de cause à effet? Il est vrai que cela s'est fait en espérant acheter ainsi le silence des victimes et diluer sa responsabilité écrasante dans le scandale qui s'est produit et, hélas, continue de se produire tous les jours. Car, ne l'oublions pas, TOUS les chiffres sur lesquels les officiels ont dit se baser pour lancer cette gigantesque campagne qui a engendré la vaccination de 30 millions de Français (soit la moitié de la population) ont été inventés de toutes pièces car ils n'existaient pas. Pire, il a justement été démontré que l'hépatite B était en régression AVANT la campagne vaccinale des années 90!
L'efficacité de la dite vaccination est douteuse. Après avoir vacciné les gens jugés à risques aux USA (homosexuels, toxicomanes), les autorités et les fabricants ont eux-mêmes avoué que cela n'avait nullement réduit l'incidence de la maladie, pire cela n'avait fait que l'augmenter. Mais, plutôt que d'être raisonnable et de ne pas s'entêter dans l'erreur, ils ont alors élargi la vaccination à l'ensemble de la population!
Dans le remarquable ouvrage "Vaccines, ares they really safe and effective?", l'auteur Neil. Z Miller nous révèle les conclusions de différentes études: certaines font état du maintien d'anticorps chez seulement 60% des vaccinés 5 à 10 ans plus tard, d'autres parlent de seulement 42% des vaccinés encore "protégés". Rien de bien brillant donc puisqu'aux yeux des vaccinalistes les "anticorps" constituent soit disant un gage de protection absolue! En ce qui concerne les nourrissons, une récente étude a montré que les anticorps disparaissaient chez 50% des vaccinés une fois arrivés à l'âge des premières relations sexuelles.
Mais, le vaccin reste à écouler: coûte que coûte! Et pour cela, toutes les ficelles sont bonnes...
Par exemple, prétendre que les enfants peuvent être infectés en lèchant des jouets (comme l'avait fait l'ONE pour justifier sa politique) ou qu'ils pourraient se contaminer "en faisant un bisou sur une plaie" (!) comme l'a affirmé un infectiologue belge dans un article plus qu'attristant d'e-sante.be.
Les pseudos experts affirment et continuent de se ridiculiser au plus haut point en niant l'évidence! Il est très intéressant à ce sujet d'aller par exemple lire les âneries hallucinantes qu'on retrouve dans cet article d'e-sante.be qui ose, sans rire, titrer "Vaccin hépatite B: des risques non démontrés, des bénéfices certains". On peut y lire les propos lénifiants du Dr Van Laethem, infectiologue dans un grand hôpital bruxellois:
"L'état français a dédommagé ces personnes parce qu'elles étaient obligées, en raison de leur métier, de se faire vacciner. Mais cela ne veut pas dire que la responsabilité du vaccin dans l'apparition de la maladie a été reconnue."
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire!! Est-ce que ce type de propos a du sens? Non évidemment! Non seulement il est clair que l'état ne va pas jeter son argent par les fenêtres en dédommageant des victimes qui ne le seraient pas, mais, en plus, ces propos sont contraires aux données de la littérature médicale faisant état du lien entre SEP et vaccin HB! La propre littérature médicale du Dr Van Laethem qui n'a gardé que ce qui l'arrangeait à savoir le consensus (biaisé) des pairs et des instances officielles qui n'ont évidemment pas envie de voir arriver en masse les procès contre leurs politiques effroyables!!!
En tout cas, si nous suivons le discours du Dr Van Laethem, on devrait également pouvoir tirer la conclusion que la personne qui aurait eu un ongle incarné suite à ce vaccin aurait dû être indemnisée parce qu'elle a dû se faire vacciner de façon obligatoire... On le voit, c'est ABSURDE! L'état a donc payé parce qu'il y avait bien un lien et que le déni systématique ne peut conduire qu'à la révolte en masse des victimes niées!
"Les études bénéfices-risques sont clairement en la faveur de la vaccination." poursuit l'expert.... Quelle expertise en effet! Car, on va le voir TOUT est occulté et honteusement masqué au public. Bien des études démontrent que ce vaccin est un X° vaccin-poison, pourvoyeur d'épilepsie, de diabète insulino-dépendant (il faut se piquer à vie), d'autisme etc!
"Les contacts sociaux entre les enfants peuvent être à l'origine de la transmission: un bisou sur une plaie par exemple."
Franchement: qu'est-ce qu'on ne tirerait pas les hypothèses par les cheveux pour justifier l'injustifiable!!! La probabilité que votre enfant soit gravement victime de ce vaccin est hautement plus élevée que celle de se voir contaminé par l'hépatite B suite à un bisou qu'il aurait été faire sur la plaie d'un enfant contaminé! Ceci est d'autant plus grotesque que, cette affection se transmettant uniquement par voie sanguine et sexuelle ne vient chez les enfants (à part transfusion avec du sang contaminé) que d'une transmission verticale par la mère, chose qui devrait être strictement impossible puisque les médecins s'accordent tous pour vacciner l'enfant à la naissance s'il naît d'une mère positive à l'antigène HBs....C'est donc prôner un vaccin qu'on reconnaît comme inefficace par ailleurs: ABSURDE!
De plus, même le Pr Philippe Reinert, pédiatre infectiologue à Créteil et ancien vice-président du Comité Technique des Vaccinations (CTV) c'est à dire le groupement qui élabore les recommandations vaccinales pour TOUTE la population s'est dit, sur le forum d'arte fin 2007 "d'accord pour penser qu'une telle vaccination de masse (ndlr: contre l'hépatite B) dans un pays où la maladie est rare n'était pas justifiée."
On se demande dès lors POURQUOI ce personnage n'a pas agi en conséquence pour faire entendre sa voix quand il occupait ce haut poste au CTV afin de modifier les recommandations officielles et d'épargner la santé de milliers d'adultes et d'enfants....
Même quelqu'un comme le Pr Berraud, hépatologue hospitalier, a avoué dans le documentaire "Silence, on vaccine!" la chose suivante:
"Moi qui suis médecin, qui soignais des hépatites B, je ne me suis PAS fait vacciner. Je n'avais aucune raison de me faire vacciner car je n'avais aucune possibilité de contamination."
Quant à lui, le Dr Van Laethem poursuit dans ce pitoyable article:
"Je pense qu' il n'y a pas à discuter de l'utilité du vaccin en regard d'une suspicion de quelques cas de scléroses en plaques. C'est un peu comme si on décidait d'abandonner la ceinture ou l'airbag parce qu'ils sont impliqués dans un ou deux décès alors qu'ils sauvent des millions de vies. Cela n'aurait pas beaucoup de sens."
Quelle arrogance! On devine que cette personne s'attend à ce que le bon peuple désinformé s'agenouille et dise "amen" sur base du sempiternel argument d'autorité!
Ce qui a encore moins de sens c'est d'oser affirmer qu' "il n'y a pas à discuter de l'utilité de ce vaccin" ALORS QUE, selon les résultats d'une enquête menée auprès des pédiatres et généralistes américains et publiés dans la revue médicale ultraconnue Pediatrics en 1993 (Pediatrics 1993; 91:699-702), 87% des médecins jugent cette vaccination inutile et non nécessaire!
Comment aussi balayer d'un revers de la main la demande de moratoire sur cette vaccination, lancée par le Dr Jacques Lacaze dès l'automne 1996 et signée par 480 médecins dont 3 professeurs de médecine, les Prs Cornillot de la faculté de médecine de Bobigny, Le Cacheux, professeur de réanimation infantile au CHU de Caen et Bernard Herzog, chef du service de radiologie à Nantes? En quoi le Pr Van Laethem nous a-t-il apporté la preuve au travers de ses affirmations péremptoires qu'il était plus compétent que tous ces médecins-là pour dire si cette vaccination est utile ou non? Interrogez-vous!
Du reste, oser comparer les effets secondaires innombrables du produit ayant entrainé la plus grande série d'effets secondaires de toute l'histoire de la pharmacovigilance française aux effets de la ceinture et de l'airbag est tout simplement grotesque!
Nous invitons les visiteurs à écouter tout spécialement la partie 4 du documentaire "Silence on vaccine" ci-dessous afin de se rendre compte que les dossiers évoqués par le Réseau des victimes du vaccin HB, le Revahb, non seulement ne peuvent pas se résumer à "quelques suspicions de scléroses en plaques" mais en plus qu'il y a bien d'autres complications possibles liées à ce même vaccin... Et, comme l'explique le pédiatre Dr Le Houezec dans cette vidéo, on voit bien l'augmentation de différentes affections auto-immunes consécutives à la vaccination HB.
Comme il le relève également, dès 1995, on peut lire dans le Vidal, ouvrage de référence des médecins qui rassemble les notices des médicaments, que la notice du vaccin Engerix B, le vaccin HB transgénique fabriqué et commercialisé par la firme Glaxo Smith Kline fait état du risque de sclérose en plaques! Le Pr Van Laethem a donc le culot de nier ce que même le fabricant du produit a reconnu...
Silence On Vaccine Part 4/5
Selon le Dr Marc Girard, spécialiste en pharmacovigilance et en pharmaco-épidémiologie, ancien expert près la Cour d'Appel de Versailles dans cette affaire de vaccination anti hépatite B, il y aurait, en France, rien que pour les cas de scléroses en plaques, au moins 80 000 cas imputables à la vaccination hépatite B!
Dans la vidéo suivante, on peut voir en effet que le vaccin hépatite B cause aussi bien des dégâts (effets secondaires, avec et sans hospitalisations ET décès) chez les enfants américains et encore, il faut tenir compte de la sous-notification:
Vaccins la tragedie
Le Dr Hyde au Canada a dénoncé le risque de fibromyalgie, particulièrement élevé au sein de la population des infirmières, toutes vaccinées contre l'hépatite B. Dans la revue Nexus de mars-avril 2008, on peut lire que "80% des fibromyalgiques font partie du personnel médical."
Le Dr J.B Classen a établi le lien entre vaccination hépatite B et diabète de type 1 (celui qui oblige à s'injecter quotidiennement de l'insuline): en effet, sa publication de 1996 dans le New England Journal of Medicine fait état d'une hausse de 60% des cas de diabète de type 1 après vaccination de 70% des jeunes de moins de 16 ans entre 1988 et 1991. Il attribue cet effet diabétogène des vaccins à la libération massive d'interférons qu'ils engendrent. Le Dr Classen, comme par hasard, s'est fait remonté les bretelles par des membres influents du CDC et de la FDA pour ses conclusions, plus que probablement jugées outrageantes pour l' image de marque des vaccins.
Patti White, infirmière et coordinatrice de santé de nombreux établissements scolaires du Missouri a témoigné devant le Comité de Réforme du Gouvernement afin de demander une réévaluation de l'obligation de vaccination hépatite B chez les jeunes enfants car elle s'inquiète de la proportion grandissante d'accidents causés par cette vaccination sur les systèmes neurologique et immunitaires des nouveaux-nés: "Un nombre croissant d'enfants arrivent en maternelle avec des difficultés et désordres du développement ainsi que des maladies chroniques sérieuses telles que diabète ou asthme."
Le vaccin hépatite B peut également causer l'autisme. Nous conseillons la lecture du livre "When your doctor is wrong : Hepatitis B vaccine and autism" de l'auteure Judy Converse.
Le Pr Bonnie Dunbar, professeur de biologie cellulaire et moléculaire au Baylor College de Médecine de Houston, au Texas. On lui a confié 30 000 dossiers de gens ayant eu des effets secondaires suite à ce vaccin. Selon elle, il existe bien un risque lié à cette vaccination laquelle peut engendrer des maladies auto-immunes chez une foule de sujets suivant leur groupe HLA (= un système de "carte d'identité" sur le pourtour de toutes nos cellules, système qui n'est évidemment jamais testé avant une vaccination...).
Les Prs Chérin et Gherardi ont mis en évidence l'existence d'une nouvelle maladie appelée "myofasciite à macrophages" causée par l'aluminium vaccinal, selon eux surtout après vaccination anti hépatite B et antitétanique. Cette maladie invalidante se caractérise par une grande fatigue, des douleurs musculaires diffuses, un ensemble de symptômes variés et souvent, des maladies auto-immunes satellites.
Il semble également établi qu'il existe un lien entre la vaccination anti hépatite B et leucémie. C'est en effet une équipe de l'Université de Berkeley aux USA qui a trouvé une hausse de 20% de risque de leucémie chez les moins de 15 ans vaccinés comparés aux non vaccinés.
Des victimes, encore des victimes, toujours des victimes
Ces vaccins hépatites B, tous obtenus par génie génétique en ce qui concerne la version actuellement vendue, sont des vaccins recombinants (= transgéniques), adsorbés (= riches en aluminium). Le vaccin Engerix B est fabriqué avec des levures de bière tandis que le Genhevac est produit à base de lignées de cellules cancéreuses tirées de tumeurs mammaires de hamster chinois....
Ces vaccins peuvent causer des scléroses en plaques, y compris chez les enfants comme l'équipe du Pr Tardieu l'a montré en ce qui concerne le vaccin Engerix B junior. Et, évidemment, une foule d'autres symptômes et maladies possibles, il n'y a pas que la seule sclérose en plaques!
N'oubliez pas non plus que les effets secondaires des vaccins peuvent parfois apparaître des mois voire bien des années après et ceci parce que notre corps peut parfois compenser pendant des années différents problèmes commes des problèmes hormonaux (thyroïde , prédiabète etc) ou bien agir avec effet retard comme pour nombre de maladies auto-immunes. Evidemment, la majorité du corps médical vous rétorquera que l'effet est soit trop récent soit trop tardif mais fera en sorte que les vaccinations en sortent toujours innocentées.
Le corps médical compare les risques des vaccins (qui sont sous-évalués) au risque d'attraper une hépatite B mais ceci constitue une comparaison biaisée étant donné que les maladies causées par cette vaccination sont des maladies majoritairement chroniques et incurables là où l'hépatite B est majoritairement bénigne (dans + de 9 cas sur 10). C'est donc comme si on comparait des pommes et des poires, cela crée un biais majeur.
Pour le Docteur Bruno Donatini, gastro-entérologue et expert en pharmacovigilance, le risque de complication grave due à une hépatite B est de 1/50 000 000 chez un sujet normal, à la naissance. Le risque de complication grave liée au vaccin par contre est TRES supérieur.
Le Pr Bégaud, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux et ancien vice-président de la Commission nationale de pharmacovigilance le dit également sans détours: "Aujourd'hui, quand j'entends dire que le risque est nul, c'est grotesque. Ce n'est pas possible." Sur base des 771 notifications officielles de scléroses en plaques en avril 2001, il disait déjà: "[...] On ne peut pas s'asseoir sur presque 800 cas. Il faudrait être particulièrement de mauvaise foi pour dire que ces cas sont tous dûs au hasard et jamais à la vaccination. Le nombre de cas notifiés est donc un signal fort."
Les fabricants de ces deux vaccins ont tous les deux été mis en examen par la justice française il y a un an et demi pour TROMPERIE AGGRAVEE. Vu le nombre énorme de mensonges sur lesquels les fabricants ont basé leur folle campagne, le Pr Cornillot a raison de poser la question à savoir s'il s'agit d'une affaire de racaille?
Nous avons jugé utile de vous parler ci-dessous du cas de quelques unes des innombrables victimes de cette vaccination afin de vous apporter quelques éléments de réponse:
Nous vous avions déjà parlé du cas terrible du petit Achraf Diwane, un garçonnet marocain vacciné à l'âge de 2 ans et devenu tétraplégique 48H après l'injection du vaccin Engerix B. Evidemment les officiels ont prétexté que 48H c'était trop tôt pour que cela soit dû au vaccin et les pédiatres de Casablanca s'étaient même réunis avant que les verdicts judiciaires ne soient rendus pour savoir comment maintenir coûte que coûte la confiance du public dans cette vaccination toxique (souvenez-vous, c'est la même technique des officiels à SimpsonWood, la même aussi qu'en France avant que de tels verdicts ne soient également rendus, toujours la même stratégie!) Fort heureusement, la justice marocaine a fait son travail en condamnant lourdement la firme Smith Kline Beecham et l'a encore recondamnée récemment à verser des millions de dirhams supplémentaires. Un lien de causalité directe a été reconnu...
Sabine Petit a fait une myélite aiguë qui l'a paralysée des deux jambes et clouée dans un fauteuil roulant suite à sa vaccination avec le Genhevac en 1995...
Le papa de Sabine: "Nous étions mal informés. Si nous l'avions été correctement, peut-être que Sabine n'aurait pas fait ce vaccin."
Pendant un an, le médecin qui l'a vaccinée a nié le lien de cause à effet car il pensait naïvement que les autorités n'avaient pas pu autoriser la mise sur le marché de produits aussi toxiques. Après, il s'est rendu à l'évidence et s'est réconcilié avec la famille de Sabine.
Voici ce qu'a fini par déclarer le médecin de Sabine: "Il est bien évident que si je n'avais pas vacciné Sabine, elle ne serait pas dans un fauteuil roulant!"
Le petit Ian, un enfant américain s'est fait vacciner peu de temps après la naissance contre l'hépatite B, comme c'est la règle pour TOUS les enfants aux Etats-Unis. Il était jusque là en parfaite santé. Il est décédé à l'âge de 47 jours et dans quelles souffrances!
Allez voir ICI la triste métamorphose de cette petite victime du vaccin hépatite B (attention, images très dures)
Ian, à la naissance, voir le site des parents
“La présence de découvertes comme l'oedème cérébral chez les enfants en bas âge sains qui meurent très peu de temps après avoir reçu le vaccin contre l'hépatite B est inquiétante, particulièrement au vu de la fréquence des symptômes neurologiques répertoriés au niveau du VAERS.” Dr Jane Orient, présidente de l'AAPS, l'association américaine des médecins et chirurgiens.
«Pour la plupart des enfants de moins de 14 ans, le risque d'une réaction grave au vaccin peut être 100 fois plus grand que le risque d'hépatite B.» Dr Jane Orient
Nous vous invitons dès lors à LA PLUS GRANDE PRUDENCE pour vos enfants et nous vous rappelons, comme l'ont dénoncé plusieurs médecins dont le Dr Dominique Le Houezec, pédiatre et conseiller médical du Revahb: MEFIEZ-VOUS DU LEURRE DES VACCINS COMBINES QUI PERMETTENT DE FAIRE ACCEPTER EN DOUCE LA VALENCE HEPATITE B SANS MÊME QUE VOUS VOUS EN RENDIEZ COMPTE!C'est en effet par cette astuce scandaleuse que l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE) a pu obtenir un si grand pourcentage d'enfants vaccinés en dépit des risques hallucinants de cette vaccination!
En effet, il ne faut pas oublier que le vaccin hexavalent de Sanofi Pasteur (l'Hexavac) a été retiré du marché sous le faux prétexte de n'être pas suffisamment immunogène (entendez par là "suffisamment efficace") alors que la vraie raison est qu'il induisait des oedèmes cérébraux mortels... Pourtant, comme l'incohérence est et reste le maître mot de ces vaccinalistes qui menacent nos vies, le vaccin concurrent de GSK, l'Infanrix Hexa reste lui sur le marché et recommandé. Il est même gratuit...
"Le témoignage des parents du petit Fabian vient confirmer que l'Hexavac de Sanofi n’est pas le seul coupable mais que son frère jumeau, l’Infanrix-hexa de GSK, y participe encore : Fabian est né en Allemagne le 24 février 2006, après que l'Hexavac ait été retiré du marché fin septembre 2005. Selon sa maman, pendant ses 5 premiers mois il avait toujours été en parfaite santé. Il sera vacciné un lundi de juillet par le seul vaccin hexavalent disponible. Dans la soirée il va avoir une forte fièvre qui oscillera dans les jours suivants. Il décèdera une semaine après, le lundi 24 juillet, d’un œdème du cerveau que l’autopsie classera d’origine inconnue. Le médecin-chef dira que la vaccination remonte à trop longtemps pour être incriminée ! Mais la notice mentionne que ce type de complication peut survenir 7 jours après la vaccination…" (extrait de l'article étayé d'Alterinfo)
Et malgré cela, malgré ces risques gigantesques, on peut encore lire des âneries soit disant "scientifiques" comme quoi les vaccins hexavalents ont toutes les qualités, sont sûrs et efficaces et même ceci, c'est à ne pas en croire ses yeux!
"Le corps médical devra adapter sa pratique au vaccin hexavalent qui diminue la flexibilité de choix individuels."
Et le patient dans tout ça ? Bien peu de respect donc pour ses décisions souverraines et pour le consentement éclairé comme pour la diversité immunologique qui ne peut qu'imposer des décisions au cas par cas et sûrement pas des produits standardisés pour des gens tous différents !
"Pour les enfants prématurés de moins de 2.000 g à la naissance, en plus de la dose de vaccin contre l’hépatite B prévue à la naissance, une dose supplémentaire de vaccin contre l’hépatite B leur sera administrée à l’âge d’1 mois. A l’âge de 2 mois, le schéma vaccinal classique sera initié : vaccin hexavalent à 2, 3, 4 et 15 mois. Le contrôle sérologique mentionné ci-dessus sera également effectué dans ce cas."
Hallucinant: les enfants prématurés nés de mères positives à l'antigène HBs ont "droit" à une dose supplémentaire de vaccin anti hépatite B ALORS QUE chez le prématuré, encore plus que chez le nourrisson né à terme, le système immunitaire est pleinement immature....De plus, chaque dose de vaccination anti hépatite B (même les versions junior) contient des quantités importantes d'aluminium (entre 225 et 475 mg/dose!) OR des études scientifiques* ont démontré que l'administration d'aluminium dans les perfusions de prématurés générait chez eux un retard mental!
* Bishop N.J., Morley R., Day J.P., Lucas A., "Aluminium neurotoxicity in pretern infants receiving intraveinous feeding solutions", NEJM, 1997 May 29; 336 (22):1557-1561
Les adultes, pas mieux lotis
Emmanuelle, 31 ans, vaccinée et malade (15/02/2008, article de Lyoncapitale)
Témoignage. Emmanuelle Juliani souffre d'un lupus érythémateux disséminé, une maladie auto-immune rare et très invalidante. Pour elle, le lien de causalité entre sa maladie et sa vaccination contre l'hépatite B est évident.
“Mon médecin m'a dit de me faire vacciner contre l'hépatite B. Il me l'a présenté comme une obligation. Je n'ai pas eu le choix». C'était en avril 1998, à l'époque de la grande vague des vaccinations contre l'hépatite B. Pourtant, comme beaucoup de jeunes gens, Emmanuelle ne faisait pas partie des adultes dits «à risque»."
Karim Gacem souffre de sclérose en plaques invalidante depuis plus de 12 ans. Déboutée en 2004 et 2006, la justice a enfin donné raison à la famille Gacem qui se bat aussi pour les autres (pour éviter que ça n'arrive à d'autres!) : la cour de cassation leur a donné raison et le Conseil d'Etat que le lien entre la SEP et le vaccin existe bel et bien.....
Walid était un brillant étudiant en biologie: à 24 ans seulement, le voila atteint de sclérose en plaques invalidante et aveugle d'un oeil également depuis sa vaccination anti hépatite B qu'on lui a présentée comme obligatoire dans le cadre de ses études:
PARU DANS NICE-MATIN:
Patricia Nervo, 45 ans, souffrant d'une sclérose en plaques « directement liée à sa vaccination obligatoire contre l'hépatite B », selon les experts du ministère de la Santé *, dénonce le comportement « ignoble et inhumain » de l'industrie pharmaceutique après la récente mise en examen des responsables de deux multinationales pharmaceutiques : Sanofi Pasteur MSD et GlaxoSmithKline. «Ils m'ont enlevé ma vie, ils m'ont tuée, c'est ignoble et inhumain, il y a eu tromperie, ils le savaient mais ils ne veulent pas l'admettre? Je pense que la vérité va enfin éclater», a déclaré Patricia Nervo, qui mène son combat depuis plus de quinze ans.
photo: Patrice Lapoirie
* Mais à part ça, une ministre comme Roselyne Bachelot ose encore affirmer publiquement que "le vaccin hépatite B n'est responsable d'aucune maladie en France. C'est une polémique." Ah bon? Alors comment expliquerez-vous Madame le Ministre, que des experts du ministère que vous occupez à l'heure actuelle ont eux-même admis le lien évident de causalité? Tôt ou tard, il faudra cesser de prendre les gens pour des c...
Gilles est lui aussi victime du vaccin hépatite B, voici des photos plus qu'éloquentes de l'AVANT et de l'APRES vaccin:
Les médecins aussi victimes!
Une majorité de médecins est pertinnement au courant des dangers de cette vaccination et continue d'appliquer la sinistre politique du "faites ce que je dis, pas ce que je fais" (souvenez-vous des chiffres révélés par l'enquête parue dans la revue médicale Pediatrics en 1993: 87% des pédiatres et généralistes interrogés jugent ce vaccin anti hépatite B non utile!) Ce fait est plus que confirmé par les données officielles elles-mêmes: en effet, dans le dossier de la revue Grandir Autrement n°9 de janvier-février 2008 consacré au sujet de la vaccination, on peut lire ceci:
"Les enquêtes effectuées auprès des personnels des soins de santé montrent, qu'en dehors des infirmières, une minorité de médecins hospitaliers, des internes et du personnel des hôpitaux se font vacciner contre des maladies, comme la grippe ou l'hépatite B, alors même que la vaccination est fortement conseillée ou obligatoire dans leur profession. *"
* Gestion des praticiens hospitaliers. Rapport de l'Inspection générale des affaires sociales.
http://www.snphar.com/news/stock/GestionPH.pdf
Evidemment, comme l'industrie pharmaceutique contrôle tout l'enseignement universitaire, il est clair que la vaste majorité des médecins qui arriveront, pour leur plus grand soulagement, à s'exhonérer des obligations vaccinales propres à leur profession, ne prendront pas le risque de se faire remarquer outre mesure en allant jusqu'à recommander à leur patientèle d'éviter cette même vaccination à tout prix, par simple souci de déontologie et de cohérence.
Outre cette catégorie de médecins qui prônent le vaccin qu'eux-mêmes refusent, il y a les médecins de bonne foi qui pensent réellement se protéger et protéger leur patientèle en se faisant vacciner. Ceux-là sont, en toute logique, autant à risque de complication que les non-médecins recevant le même poison. Les médecins ne sont donc pas immunisés contre des poisons, même s'ils les pensent sans danger du fait des infos biaisées reçues des labos omniprésents!
Voici ce qu'on pouvait lire dans le Telegram Brest Ouest du 4 mars 2006:
"HÉPATITE B. UN MÉDECIN DÉDOMMAGÉ
Le tribunal administratif de Rennes vient de condamner l’Etat à verser plus de 500.000 € à un pédiatre briochin en réparation du grave handicap dont souffre aujourd’hui ce médecin à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B.
En juillet 2002, un pédiatre briochin, Michel Gauvin, ayant vu sa demande d’indemnisation rejetée par le ministère de la Santé, demandait au tribunal administratif de Rennes réparation de son préjudice résultant de la vaccination contre l’hépatite B. Une demande fondée car l’expert désigné par le tribunal, ainsi que celui nommé par le ministre de la Santé, avaient conclu à un lien de cause à effet entre cette vaccination et la polyradiculonévrite dont souffre le pédiatre depuis le mois de février 1995.
Application de la loi
Or, cette vaccination a été pratiquée dans le cadre de son activité professionnelle de médecin intervenait en application de l’article L. 10 (aujourd’hui article L. 3111-4) du code de la santé publique, qui veut qu’une personne exerçant une activité professionnelle dans un établissement de prévention ou de soins « l’exposant à des risques de contamination » soit immunisée contre « l’hépatite B, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite ». Et, rappellent les magistrats rennais dans leur jugement rendu jeudi, l’article L 3111-9 du même code indique que « la réparation d’un dommage imputable à une vaccination obligatoire » pratiquée dans les conditions prévues par l’article L.3111-4, « est supportée par l’Etat ».
Or, « dans l’état actuel des connaissances médicales », la seule cause de la pathologie du pédiatre briochin « est la vaccination contre l’hépatite B » même si elle « présente une forme inhabituelle » : en effet, les troubles neurologiques n’avaient été constatés qu’au mois de juillet 1995 après la période susceptible d’occasionner des effets indésirables. Mais le docteur briochin avait toujours déclaré avoir ressenti des troubles épisodiques dès le mois de février 1995 « sans estimer nécessaire de consulter un autre médecin ».
Qu’importe, sa requête est fondée juridiquement, rappelle le tribunal administratif, qui a donné suite aux demandes du médecin pour la réparation de son préjudice personnel. Ce dernier ne peut plus exercer aujourd’hui sa profession et conserve une incapacité permanente partielle évaluée à 70 %. A titre de réparation des troubles de ses conditions d’existence, des souffrances endurées, du préjudice esthétique, du préjudice matériel, et du préjudice économique, les juges ont condamné l’Etat à lui verser la somme globale de 524.847 €.
Tangi Leprohon
D'autres médecins sont victimes aussi. On peut citer les cas de deux médecins anesthésistes, exposés en p. 86 du livre "Vaccin hépatite B, les coulisses d'un scandale" du Dr Marc Vercoutère et Sylvie Simon:
"Danièle, médecin anesthésiste, 60 ans, a montré des signes inquiétants un mois après le rappel du vaccin de l'hépatite B. Des analyses de sang ont mis en évidence une anémie importante qu'elle a attribuée à une fatigue passagère. Au mois de janvier 1994, elle a consulté plusieurs neurologues et une biopsie nerveuse a révélé des atteintes démyélinisantes. Sa pathologie s'est aggravée au fil des années, elle est en arrêt de travail depuis septembre 1994 et sous traitement immunosuppresseur. Depuis le début de sa carrière en 1959, ce médecin n'avait jamais manqué un seul jour de travail mais, aujourd'hui, sa carrière est brisée."
" Elise, médecin anesthésiste, 40 ans, s'est fait vacciner par Engerix en juillet, septembre et octobre 1992 pour être en règle avec la loi. Dès la première injection, elle s'est sentie très fatiguée mais le médecin vaccinateur n'y a pas prêté attention et a continué ses injections. En avril 1993, elle présentait une paralysie du côté gauche, et l'IRM a montré une atteinte démyélinisante. " En décembre 1994, nouvelle poussée de SEP avec déficit cette fois du côté droit. A chaque fois, le traitement est le même: corticothérapie intraveineuse à doses massives et kinésithérapie, avec une récupération qui n'est jamais totale. L'amyotrophie séquellaire est bien sûr définitive. Je continue à avoir des difficultés à la marche et si je vais mieux, c'est parce que j'ai réorganisé ma vie pour avoir le moins de fatigue possible, avec un sommeil régulier (avant je faisais des gardes régulières). Je ne pourrai donc sans doute pas reprendre mon travail" a-t-elle confiée à l'Impatient."
Un constat d'une rare évidence: le taux de complications dues aux hépatites reste inchangé avant ET après le lancement de la campagne de vaccination tandis que les scléroses en plaques et les maladies neuromusculaires sont elles en nette augmentation après le pic de vaccination des années 90. En dépit des dénégations officielles, il y a aussi et surtout l'accroissement des ventes d'interféron (un médicament notamment utilisé dans la prise en charge des scléroses en plaques) après le pic vaccinal, un accroissement qui n'a pas échappé à l'expert Dr Marc Girard et qui bétonne définitivement la portée des courbes ci-dessus.
Qui croira encore au "hasard" après cela?
Tout récemment encore, GSK vient d'être recondamné: un Xième cas de sclérose en plaques chez une jeune fille, vaccinée dans les années 90':
"Après plus de dix ans de procédure, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'être reconnu «entièrement responsable» pour la sclérose en plaques diagnostiquée chez une adolescente en 1998, quelques mois après sa dernière injection du vaccin Engerix B contre l'hépatite B. La décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, en date du 12 juin et révélée aujourd'hui par Libération, condamne GSK a verser 396.000 euros de dommages-intérêts à la jeune femme, aujourd'hui âgée de 27 ans." (suite de l'article, voir ICI)"
Les 2 labos producteurs sont toujours en examen pour TROMPERIE AGGRAVEE au sujet du vaccin hépatite B depuis un an et demi. Le 25 mai dernier se tenait une audience lors de laquelle le sort des expertises et contre-expertises des victimes, parties civiles dans cette affaire, devait se jouer. Les labos avaient évidemment demandé leur annulation et le procureur avait soutenu ces derniers! Etrangement, seuls les avocats étaient admis dans la salle d'audience.....
Il est très clair que le Procureur a dû recevoir des ordres concernant cette vaccination hépatite B et ce justement au moment précis où les autorités (dont le Procureur dépend) tentaient de relancer en grande pompe la vaccination anti-hépatite B par différents biais...
La restauration illusoire de la confiance dans un poison
Tout d'abord, il y a eu le lancement d'une campagne plus qu'ambiguë qui ne cite pas explicitement le mot "vaccin" mais conseille le dépistage et d' "en parler à son médecin", lequel aura plus que probablement été réincité à vacciner contre l'hépatite B car l'état souhaite justement "restaurer la confiance des professionnels dans ce vaccin"....
En d'autres mots, les gens à qui on aura fait peur avec ces grandes affiches placardées dans le métro, courront chez le médecin pour faire le test et, si le test est négatif, le médecin aura toutes les chances de proposer la vaccination sans parler des dangers gravissimes bien sûr ni de la faible durée de "protection" ni de la possibilité que le vaccin ne prenne même pas comme c'est le cas chez environ 1 vacciné sur 6 qui est un non répondeur ou un mauvais répondeur!
De plus, on s'attaque aussi aux enfants afin de mieux manipuler les parents et de jouer sur leur fibre protectrice. Alors que les femmes enceintes en France ont toutes ou presque des prises de sang qui détectent la présence d'antigènes contaminants chez les futures mamans bien avant la naissance- et ceci afin de prévoir ces vaccins- poisons censés "protéger" le bébé et lui éviter une hépatite B chronique-, on peut voir dans ces affiches un autre aveu de l'inefficacité criante d'une telle vaccination!
On reprend même l'image d'un bébé:
Même un âne ne bute pas deux fois sur la même pierre dit-on... Pourtant, cela n'empêche pas Didier Houssin, actuel directeur de la Santé en France de déclarer, comme on peut le lire dans le journal Le Point:
"Nous devons commencer par restaurer la confiance des professionnels de santé dans la vaccination contre le virus de l'hépatite B." Car comme le déplore le Dr Houssin, "la défiance" s'est installée non seulement dans l'esprit du public mais aussi de certains professionnels de santé." (et on les comprend!)
"Il faut apporter des explications pour faire en sorte que les professionnels de santé "méfiants le soient moins" et ceux "non motivés le deviennent", a précisé le Pr Houssin, tout en admettant qu'il ne serait pas facile de regagner la confiance perdue. Et pourtant, il est prouvé qu'une absence de vaccination majore les risques d'hépatites, de cirrhoses, de cancers et de décès, alors que le vaccin permet de les prévenir dans de nombreux pays. Il a ajouté que l'impact de cette action à destination des professionnels de santé serait évalué par rapport à l'évolution de la couverture vaccinale. En fonction des résultats obtenus, il sera possible d'envisager ou non des actions à destination du grand public. Car les spécialistes sont unanimes : il serait temps que la population admette l'intérêt de se protéger contre cette redoutable hépatite B. "
En effet, cela sera dur de motiver les gens à créer plus de maladies et à être plus malades eux-mêmes! Car le fait, implacable et incontestable, est que la folle campagne de vaccination menée en France dans les années 90' l'a été sur base de chiffres totalement gonflés et fantasques qui parlaient de 300 000 porteurs chroniques. A présent que 30 millions de Français au moins ont été complètement vaccinés, le nombre de porteurs chroniques resterait donc inchangé? Superbe exemple de l'inefficacité TOTALE de cette vaccination, il n'y a pas à dire!
STOP AUX MENSONGES, STOP A LA TYRANNIE VACCINALE ET A LA MAUVAISE FOI: LE REDOUTABLE DANGER, C'EST LA VACCINATION ET PAS L'HEPATITE B!
Nous n'insisterons jamais assez sur l'importance de s'informer par soi-même, raison pour laquelle, nous vous suggérons ici quelques lectures complémentaires:
"Vaccin hépatite B, les coulisses d'un scandale", Dr M. Vercoutère et S. Simon, éd. Marco Pietteur
"Le nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B", Lucienne Foucras, éd. Marco Pietteur
"Hépatites: les vaccins catastrophes", Françoise Joët et Claude Bernard, éd Alis
"La santé publique en otage, les scandales du vaccin hépatite B", Eric Giacometti, éd. Albin Michel, un livre entièrement consultable ICI (en bas de ce lien, vous avez accès à tous les chapitres)
Un article-synthèse sur le scandale de l'hépatite B ICI.
Un autre article de synthèse sur la question ICI.
Nous vous rappelons aussi que c'est pour VOUS informer de cette évidence que l'exposition itinérante des victimes du vaccin hépatite B circule en France et dans d'autres pays. Tenez-vous au courant des différentes étapes via ce blog et n'hésitez pas à en parler tout autour de vous!
Si vous êtes victime de ce vaccin, n'hésitez pas à nous contacter car il y a peut-être encore moyen de réclamer justice en vous constituant partie civile dans l'affaire encore en cours pour TROMPERIE AGGRAVEE. Nous vous répondrons en ce qui concerne les délais en-déans lesquels il est encore possible de faire ces démarches, peu coûteuses puisqu'il s'agit simplement d'adhérer à l'association Alis qui soutient cette action décisive en justice ainsi que l'honneur et la dignité des victimes.
Et, dans tous les cas, si vous êtes victime de cette vaccination-ci ou d'une autre, pensez toujours à remplir le formulaire suivant afin de vous assurer que votre cas sera analysé par une équipe européenne indépendante, celle du forum européen de vaccinovigilance. De cette façon, vous empêchez que la pharmacovigilance officielle ne néglige votre cas et vous contribuez dans le même temps à faire en sorte que vos soucis ne soient pas vains, qu'ils aident d'autres à éviter le même sort!Il y a possibilité, pour celles et ceux qui le désireraient de rapporter ces effets avec garantie totale de votre anonymat...
(Sources: http://expovaccins.over-blog.com/article-33135184.html)