TOXICITE DE L'ALUMINIUM VACCINAL PAR LE DR CHRISTOPHER SHAW
CONFERENCE DE KEELE: TOXICITE DE L'ALUMINIUM VACCINAL PAR LE DR CHRISTOPHER SHAW
L’aluminium est utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins. Il s’agit d’un produit neurotoxique connu. Le Dr Chris Shaw a effectué des recherches sur les effets de l’aluminium. Il a démontré que l’aluminium était susceptible de traverser la barrière hémato-encéphalique, qu’il était étroitement lié à l’autisme et qu’il provoquait des effets dommageables chez les animaux de laboratoire
Heidi Stevenson, 26 mars 2013 (Extraits)
Ce qui frappe le plus à la réunion annuelle de Keele sur l’aluminium, c’est qu’elle rassemble des scientifiques qui ont clairement choisi la véritable piste de la science plutôt que celle de l’argent. Ces scientifiques ont gagné toute mon admiration. L’un d’eux que j’ai été particulièrement honorée de rencontrer est Christopher Shaw, spécialiste s’il en est, de toutes les questions touchant à l’aluminium utilisé comme adjuvants dans les vaccins.
Au cours des recherches qu’il a effectuées au Neural Dynamics Research Group, Shaw a montré que plus les souris étaient exposées à de l’aluminium, plus elles souffraient de troubles neurologiques. Il a fourni un résumé de son dernier projet [1], évoqué les travaux d’autres équipes qui ont aussi mis en valeur le fait que les adjuvants aluminiques des vaccins provoquent de nombreux dommages.
Au début de son diaporama, Shaw a clairement fait comprendre que L’administration d’aluminium dans les vaccins administrés à de toutes jeunes souris est associé, à long terme, à de sérieux problèmes neurologiques…
C’est depuis plus d’un siècle que l’aluminium a été considéré comme neurotoxique. C’était déjà en 1911 que le Dr William Gies écrivait :
« Ces études m’ont convaincu que l’utilisation de l’aluminium dans les aliments ou tout autre composé à base d’aluminium est une pratique dangereuse. Il est bien connu que l’ion aluminium est très toxique. Il a pu être démontré que les éléments nutritifs contenant de l’aluminium se solubilisaient avec le suc gastrique. Il n’est plus possible de mettre en doute le fait que cet aluminium solubilisé soit en partie absorbé et transporté dans toutes les parties du corps par voie sanguine. Il n’a pas encore été possible de démontrer que l’organisme puisse « tolérer » pareil « traitement » sans encourir des conséquences dommageables. Les faits énoncés dans le présent document appuient ma conviction que l’aluminium devrait être exclu de toute forme de nourriture. » [2]
Il y a longtemps que l’on sait que l’aluminium est toxique une fois ingéré. Par extension, il n’est pas difficile d’imaginer qu’il puisse également être toxique une fois injecté. Il n’est pas impossible qu’il le soit même encore davantage.
On sait que l’aluminium peut être impliqué dans :
- L’altération de la mémoire, la cognition et le contrôle psychomoteur.
- L’altération de la neurotransmission et de l’activité synaptique
- L’interférence avec la barrière hémato-encéphalique
- L’activité de pro-oxydant
- L’activation de l’inflammation du cerveau
- La dépression du métabolisme du glucose cérébral
- La promotion de l’amylose
- L’activation possible des réactions auto-immunes.
L’exposition à l’aluminium est omniprésente dans le monde d’aujourd’hui : médicaments, vaccins, nourriture, eau, cosmétiques, produits de santé, activités industrielles.
L’aluminium comme adjuvant des vaccins
La première référence sur l’aluminium en tant qu’adjuvant des vaccins a été publiée en 1926 dans le Journal of Pathology & Bacteriology (« The antigenic value of toxoid precipitated by potassium alum. »
Aujourd’hui, l’aluminium est homologué pour plusieurs vaccins pédiatriques dont certains sont administrés plusieurs fois…Shaw et son équipe ont pu montrer clairement que lorsque des doses d’aluminium proportionnées à leur poids sont injectées à de jeunes souris, elles sont susceptibles de provoquer des dommages neurologiques.
Aluminium vaccinal et autisme
Shaw a déclaré que l’autisme était une affection grave qui impliquait des dysfonctionnements du langage, des problèmes d’interaction sociale, ainsi que des réponses immunitaires. Il y a eu une augmentation spectaculaire de l’autisme depuis les années 1990. Plusieurs hypothèses ont été formulées : modification des gènes, modifications dans les critères de diagnostic, prise de conscience plus importante, augmentation de la population, produits toxiques etc.
La prévalence des troubles autistiques (TSA) depuis 1990 est clairement illustrée par le graphique suivant.
Le graphique qui suit montre, par pays, la charge d’aluminium qui pèse sur les enfants par le biais des vaccins au cours des premiers mois de la vie.
Dans une étude de 2011, Shaw et son équipe ont montré une corrélation extrêmement forte entre l’exposition à des adjuvants aluminiques et le nombre de cas de TSA (Troubles du Spectre Autistique). Les chercheurs ont eu recours à l’analyse statistique dite de Pearson.
Sur ce dernier graphique, les calculs ont été effectués 3 fois : d’abord pour une exposition faible à l’aluminium vaccinal, puis moyenne et ensuite élevée. Chaque point du graphique représente le nombre de cas enregistrés cette année-là. Les trois lignes inclinées montrent la corrélation de Pearson définie par la relation, calculée à 0,92, ce qui est exceptionnellement élevé et fortement indicatif d’une association entre l’Aluminium des vaccins et les TSA (Troubles du Spectre Autistique).
Cette étude a aussi révélé que :
- L’exposition à l’adjuvant aluminique est en rapport avec l’âge auquel l’exposition a eu lieu.
- Les pays qui ont les programmes de vaccination comportant le plus de vaccins adjuvantés à l’aluminium ont les taux les plus élevés de TSA (Troubles du spectre autistique).
- Les Etats-Unis et le Canada ont les taux les plus élevés de TSA, alors que les taux sont plus faibles dans les pays nordiques.
- Huit des neuf critères de Hill apportent les preuves adéquates.
Les critères de Hill comportent un groupe de questions qui doivent recevoir une réponse pour pouvoir, quand il s’agit de maladies, démontrer l’association de la cause et de l’effet. Ces éléments sont :
- La force des données,
- La cohérence des résultats,
- La plausibilité biologique. Y a-t-il une explication raisonnable aux cause potentielles de la maladie ?
- La relation temporelle,
- Le gradient biologique,
- La cohérence
- Les preuves expérimentales
- L’analogie avec des preuves similaires,
- La spécificité.
Les études animales ont fourni des données importantes qui établissent des liens entre les adjuvants à l’aluminium et les cas de TSA.
Conclusions:
Le Dr Shaw a montré que :
- L’aluminium est toxique chez l’animal.
- L’aluminium des vaccins a été mis en corrélation avec les Troubles du spectre autistique. La chose est à la fois statistiquement significative et répond, à l’exception d’un seul, à tous les critères de Hill.
- Les souris qui ont reçu l’équivalent en aluminium proportionnellement à celui que l’on retrouve dans les doses pédiatriques, fait penser que ses effets sont dose- dépendants. Les modifications histologiques (= modifications des tissus) comprennent des réactions neuro-inflammatoires chez les souris mâles et femelles.
- Certaines de ces réponses peuvent être provoquées par une réaction auto-immune. Elles peuvent, par conséquent faire partie du syndrome inflammatoire auto- immun.
Suggestions du Dr Shaw:
- Etudes avec imagerie chez l’homme pour pouvoir déterminer où va l’aluminium et pendant combien de temps il se maintient dans le système nerveux central.
- Etudes concernant l’élimination de l’aluminium du système nerveux central.
Il est bien évident qu’en ce qui concerne l’aluminium des vaccins, de grands progrès doivent encore être réalisés en ce qui concerne la cause et les effets….
http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-26/current-status-of-aluminum-adjuvant-research/
http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-26/current-status-of-aluminum-adjuvant-research-focus-on-autism
L’Aluminium Des Vaccins : La Route Vers Le Cerveau
Suite à la Conférence Scientifique de Keele, une étude récemment publiée, a montré que l’adjuvant aluminique des vaccins pouvait être transféré au cerveau. Ces scientifiques ont documenté le chemin que suivait l’aluminium à partir du site d’injection jusqu’au cerveau où il persiste. Ce sont les nouveau-nés, les personnes âgées et celles porteuses de certaines variantes génétiques qui sont le plus à risque.
Une nouvelle étude ajoute un maillon important au problème des adjuvants aluminiques des vaccins et des troubles neurologiques qu’ils peuvent engendrer. Cette étude précise la route que suit l’aluminium vaccinal depuis le site d’injection jusqu’au cerveau où il se maintient indéfiniment. Ces scientifiques ont également identifié un transporteur probable, ainsi que le moyen par lequel le processus se produit.
L’étude est exhaustive ; elle élimine une large gamme d’options qui pourraient militer contre ses conclusions. Cette étude a aussi mis l’accent sur deux groupes pour pouvoir déterminer si ces groupes sont particulièrement à risque. Il s’agit des nouveau-nés et des personnes présentant une certaine variante génétique. En plus de cela, les personnes âgées peuvent présenter un risque significativement plus élevé de dommages neurologiques dû à l’adjuvant aluminique des vaccins.
Bien que le niveau de tolérance à l’aluminium soit assez élevé chez la plupart des personnes, il n’en reste pas moins que le potentiel toxique de l’aluminium est élevé.
Les auteurs de l’étude soulignent :
« Il est probable que la bonne tolérance à l’aluminium puisse être modifiée par une série de facteurs, y compris la survaccination, l’immaturité de la barrière hémato- encéphalique (BHE), des facteurs individuels de susceptibilité et le vieillissement pouvant être associé à de subtiles altérations de la BHE, ainsi qu’à une augmentation progressive de la production de CCL2 (cytokine de type chimiokine ; ce dernier terme signifie que cette molécule possède un pouvoir attractif sur certaines cellules immunitaires.)»
Etant donné l’augmentation rapide du nombre de vaccinations recommandées, et même obligatoires, ainsi que le nombre croissant de personnes souffrant de troubles neurologiques chroniques et auto-immuns, il est plus que grand temps de donner l’alarme ou, à tout le moins, de mettre sur pied une étude sérieuse pour enquêter sur ces risques.
Les chercheurs qui ont participé à la Conférence de Keele ont réalisé d’importantes recherches visant à identifier et à atténuer les risques.
Il est grand temps que les agences supposées s’occuper de santé publique se mettent à suivre l’avis de ces leaders de la science.
Source:
Slow CCL2-dependent translocation of biopersistent particles from muscle to brain, Biomed Central Medicine; Zakir Khan, Christophe Combadière, François-Jérôme Authier, Valérie Itier, François Lux, Christopher Exley, Meriem Mahrouf-Yorgov, Xavier Decrouy, Philippe Moretto, Olivier Tillement, Romain K Gherardi, and Josette Cadusseau; doi:10.1186/1741-7015-11-99